Chapitre 4 : Alicia Guerreor
Il y a des jours où l’on préférerait ne pas s’être levé.
Tout va de travers et ce qui nous arrive est loin de nous enchanter. J’attends
la venue du Professeur Stauros. Il m’a demandé de le laisser farfouiller dans
nos souvenirs. Tout est en cartons. Je n’ai pas eu la force de les ouvrir
depuis le déménagement. Forcément, quand Eli était encore actif, nous vivions
dans notre maison. Elle était pleine de souvenirs, faisait même partie
intégrante de ses souvenirs. Pourtant j’ai dû me résoudre à la vendre. Six mois
après notre accident, le doyen de l’université où il enseignait est venu me
dire qu’il ne pourrait plus lui maintenir son salaire. Il a été tout à fait
charmant malgré la triste nouvelle. On pouvait lire la peine qu’il avait à me donner cette information.
Dès lors, privé du revenu de mon mari, il m’a fallut reprendre une activité
« alimentaire ». Elle-même devenant rapidement insuffisante à me
permettre de faire face à nos traites, encore moins au traitement d’Eli.
Le vide autour de moi s’est accru quand j’ai pris une
seconde activité profane. Les revenus de l’une servent à couvrir les frais
exorbitant du maintien en vie de mon époux, ceux de l’autre me donnent juste de
quoi survivre. La vente de la maison m’a permise d’alléger mes factures, mais
elle m’a profondément meurtrie. J’ai toujours espéré qu’elle verrait notre
famille s’épanouir, que nos enfants joueraient sur le perron. Quand on nous a
appris que nous ne pourrions jamais avoir d’enfants, nous avons souhaité la
garder bien qu’elle soit un peu trop grande pour nous. Nous vivions
principalement au rez-de-chaussée, les pièces du haut ayant été aménagées pour
chacun des trois enfants que nous souhaitions. Chacune des chambres étaient à
l’image de l’enfant que je m’imaginais avoir. Je les avais toute décorée
moi-même. Cela m’était facile vu que je travaillais à l’illustration de livres pour enfants. Les murs furent vite couverts de toutes sortes de petites créatures
du monde féerique. Eli apportait sa touche personnelle en me faisant ajouter
des décors mythologique, sa passion. Son bureau, notre bureau, était un
compromis des deux mondes, comme s’ils s’étaient superposés à un endroit pour
créer une zone ou toutes les créatures coexistaient.
J’ai dû faire appel à une société de déménagement car nous
n’avions pour ainsi dire pas d’amis. Je travaillais à la maison, sur internet
principalement, quant à Eli, il enseignait à la fac, certes, mais il passait le
plus clair de son temps libre avec moi. Nous avions un projet. Il souhaitait
développer un moyen ludique permettant de découvrir les trésors de l’histoire
et de la culture des pays d’autrefois. Un jeu vidéo probablement, bien qu’il
fût le principal opposant à l’abrutissement qu’occasionne l’industrie du
jeu. Les seuls moments qu’il ne passait
pas avec moi étaient les heures d’entrainement à l’aïkido. Je n’ai jamais
compris d’où lui venait cette fascination pour la maîtrise du combat qu’il soit
à mains nues ou avec armes. Eli me répondait toujours que cela lui permettait
de faire le vide en lui, d’extérioriser ses frustrations, son stress. Au dire
de son partenaire, il était plutôt doué. C’est d’ailleurs la seule personne qui
nous soit resté fidèle. Chaque mois il passe voir Eli. Chaque semaine il me
rend visite. David Tennand. Je ne sais pas quoi en penser. Je vois bien qu’il
se soucie de moi. Quand je lui ai dit que je recevais le professeur, il m’a
demandé si je souhaitais sa présence, comme soutien moral dans cette épreuve.
Je l’ai remercié sans accéder à sa requête. Je sais que cela va être éprouvant,
mais étaler ma vie privée devant des inconnus est une chose. Le faire devant
quelqu’un qui vous connaît en est une autre. Il y a des choses qui paraîtront
insignifiantes à un étranger, qui seront particulièrement révélatrice pour une
connaissance.
Le carillon me fait tressaillir. Je suis restée prostrée
sur ma chaise à laisser aller ma pensée, la tasse de thé que je m’étais faite
en est presque froide. Nous voilà au moment fatidique. Je me lève, me dirige
vers l’entrée afin de leur ouvrir. Dans quelques secondes, ils seront là,
prenant mes souvenirs, nos souvenirs pour s’en servir comme de vulgaires
outils. Et moi, j’aurais participé à cette gigantesque chasse. Parfois je me
demande comment aurait réagi Eli si les rôles avaient été inversés. Si ce
chauffeur, harassé par des heures de conduites, avait circulé dans la direction
opposée. S’il avait percuté la voiture par mon côté et non celui d’Eli.
Aurait-il permis que l’on fouille ainsi dans notre vie ? Si on lui avait
présenté ce viol de notre jardin secret comme l’unique moyen de me faire
revenir à la vie, peut être. Du fond du cœur, je le souhaite, car c’est la
décision que j’ai prise. C’est curieux ce sentiment qui m’étreint le cœur, comme
si j’avais besoin de son absolution. Il est trop tard, la porte s’ouvre. Mon
bourreau me sourit arborant une rangée de belles dents blanches parfaitement
alignées. Je lis dans son expression plus de politesse qu’il n’en faut. Sans
doute ne pensait-il pas devoir un jour entrer dans un appartement aussi
pitoyable. Oh, bien sûr il est propre, mais négligé tout à la fois. Le ménage
est fait, car je crois qu’il n’y a que les moments ou je ne suis pas en mesure
de me lever qui m’empêche de faire le minimum. Mais je vois bien dans ces
regards de travers que le manque de peinture d’un endroit ou la vis qui manque
dans un autre lui sont autant de détails qui lui révèlent des choses sur moi.
Je n’aime pas cette sensation. Comme s’il tentait de pénétrer en vous,
d’interpréter le moindre haussement de sourcil pour lui faire dire une toute
autre histoire que la sienne.
- Bonjour Mme Guerreor, j’espère que vous allez bien.
- Bonjour Professeur Stauros.
- J’ai un service à vous demander… (Je pense : Comme
si le simple fait de venir chez moi pour fouiner dans ma vie ne lui suffisait
pas)… pourriez-vous m’appeler Michel s’il vous plaît. Nous allons être amenés à
collaborer étroitement et régulièrement ensemble, je pense donc que nous
pouvons nous passer des formalités cérémonielles, non ?
Je m’attendais à tout sauf à une entrée en matière aussi
directe. On dirait que le fait de venir aujourd’hui ne constitue pas la seule
violation à laquelle je vais devoir me soumettre. Je ne sais même pas comment
j’ai fait pour répondre avec autant de détachement :
- Bien, dans ce cas, appelez-moi Alicia.
Je me demande bien ce que j’aurais pu faire pour le réjouir
plus. Je ne tarde pas à le découvrir. Il souhaite que nous nous installions
dans la cuisine, face à face. Ses assistants poussent mes meubles contre le mur
afin de libérer le plus de place au sol. Il m’explique qu’ils vont ouvrir les
cartons dans lesquels dorment nos secrets l’un après l’autre et vont catégoriser
nos souvenirs. Il recherche plusieurs sections propres à raviver les souvenirs
d’Eli dans un certain ordre. Il m’explique qu’il a l’intention d’agir avec
l’esprit de mon époux comme un constructeur de maison. D’abord il va creuser
les fondations qui lui permettront d’élever les pignons qui soutiendront le
reste de la bâtisse. Je n’ai pas de connaissance dans le bâtiment, je n’en ai
pas besoin. Il me suffit de me laisser emporter par ces certitudes. Puis je
suis ramené à la réalité quand je distingue les deux assistants ouvrir le
premier carton et plonger la main pour en extraire le premier objet, un album
photo. C’est idiot, je sais, mais je sens mon cœur étreint et mes larmes
s’insinuer jusqu’aux coins de mes yeux. Comme c’est le premier qu’il sorte,
cela signifie que c’est le dernier que j’ai déposé. Il est la pierre angulaire de
notre relation. Les photos qui le jalonnent sont les témoins muets des liens
qui ont tissé notre mariage. Il n’y en a aucun de parfait, c’est la raison pour
laquelle il y a même des moments de disputes qui ont été immortalisés, afin que
nous nous remémorions ce qui a fait que nous soyons ensemble.
- Mettez les albums sur le côté, concentrons nous sur le
reste, objets, livres, effets personnels.
Le détachement avec lequel Michel Stauros énonce cette
directive à ses assistants me glace le sang. N’a-t-il donc aucun respect pour
tout ce que le contenu de ces cartons représente pour moi ? Soudain, c’est
la question qui tue :
- Alicia, que représente ce mobile en forme de
dragon ?
Une foule de souvenirs me reviennent en mémoire. Je nous
vois, Eli et moi, sur les quais de cette ville des côtes normandes, comment
s’appelle-t-elle déjà ? Cela ne me revient pas, je ne garde pas la mémoire
des noms ni des visages. Par contre je me rappelle la blague que le vendeur
nous a sorti : « Ne le mettez pas trop près des poutres de votre
maison » ! Je me souviens d’avoir froncé les sourcils, ne comprenant
pas l’allusion. Il m’a répondu : « Sinon il va y mettre le
feu…Quoi… c’est un dragon » ! Cela nous a fait sourire. Comme il est
taillé dans une noix de coco, nous l’avons baptisé « Nuts », nom peu
courant pour un dragon, certes, mais cela nous a plu à tout deux. C’était la
période où nous souhaitions vivement avoir un enfant, avant d’apprendre que
cela nous serait à jamais interdit. J’avais décoré la chambre d’une manière
neutre, ni trop fille, ni trop garçon. Je souhaitais trouver le symbole d’une
créature gardienne de ce qui aurait été notre bien le plus précieux. Le dragon
s’est imposé de lui-même. Il est de toutes les mythologies, tantôt avare
enroulé sur son or, tantôt dernier rempart d’un objet attirant toutes sortes de
convoitises. Ce mobile, placé au-dessus du berceau représentait notre Ladon
protégeant notre jardin des Hespérides. Le voir sorti du carton, présenter à
nos regards comme un lot quelconque me révolte. La voix du professeur se fait
insistante :
- Alicia, si vous émettiez des sons, cela me serait très
utile.
En plus de ça, il se permet d’être sarcastique,
j’hallucine, mais je réponds un peu dans le désordre les mots, enfant,
gardien et chambre. A peine est-il posé au sol qu’un second objet m’est
présenté : une paire de baguettes enchâssées dans un bout d’étoffe bleue.
Encore une fois, les souvenirs rejaillissent. Notre premier et unique dîner
dans un restaurant asiatique. Nous n’étions pas encore officiellement ensemble,
c’était notre deuxième rendez-vous galant. Eli n’était pas fan de ce type de
nourriture, il a tout de même fait l’effort de nous réserver une table. Il
s’est même cru obligé de m’acheter cette paire de baguettes car il ne savait
pas que l’on pouvait manger avec une fourchette. Je me suis régalée, goûtant à
tous les plats. Lui a bien mangé également, mais des frites et du porc au
caramel. Il a bénit le restaurateur de s’être mis à la page européenne en
offrant des frites à son buffet, ce qui lui a évité de devoir jeûner.
Je ne me suis même pas rendu compte que j’ai évoqué ces
souvenirs à voix haute. Stauros en a profité pour prendre des notes et ses
assistants pour attendre poliment que je finisse et passer à l’objet suivant.
Certains se sont révélés plus simples que d’autres car plus attachés à Eli qu’à
moi. Il me suffisait de répéter ce qu’il m’avait dit sur la raison de sa
présence, comme cette spatha. La seule pièce qu’Eli n’est jamais trouvé parmi
les fouilles entreprises par son père au pied du mont Parnasse. C’est aussi
l’un des rares souvenirs qu’il conserve de vieux Pierre Guerreor. Même le jour
ou un antiquaire lui en a offert une petite fortune, il n’a jamais voulu s’en
défaire.
Michel Stauros fut intrigué par la relation entre
l’archéologue et son fils. Il me questionne donc sur le sujet. Comme cela ne
concerne qu’Eli, cela me dérange moins d’en parler que d’évoquer nos souvenirs
communs. Il fut surpris d’apprendre que le père de son patient était toujours
de ce monde, enfin, physiquement tout au moins. Atteint par la maladie
d’Alzheimer, il est maintenu à domicile grâce à plusieurs aides qui sont chez
lui jour et nuit. Il se nota de rendre visite prochainement au patriarche bien
que je le prévienne de l’inutilité de la chose compte tenu de l’état de mon
beau-père. Quand j’aborde le fait qu’Eli ne voudrait pour rien au monde
connaître les affres de cette maladie, le visage du professeur s’illumine tel
celui d’un enfant affamé devant une glace. Devant mon interrogation, il
m’explique qu’il souhaitait trouver un second « fil d’Ariane » pour
guider l’esprit d’Eli vers la résurgence. Notre histoire d’amour en constituer
un, le second devant se baser sur la peur, venait d’être découvert. Il me
demande alors jusqu’où Eli serait prêt à aller pour éviter cette maladie.
Comment répondre à cela ? Je ne suis pas Eli et même si je comprends ce
qu’il peut ressentir, ce sentiment d’impuissance devant la dégénérescence, je
ne peux pas répondre pour lui. Visiblement contrarié par mon manque
d’imagination, il fait signe à ses assistants et le balai des objets
continuent, d’un carton à l’autre. Allant jusqu’à m’interdire de me servir,
chez moi, il demande à l’un de ses assistants de faire du café, de prendre les
tasses et tout le toutim. Arrivé à neuf heures, je me rends compte du temps
écoulé par le cri famine de mon estomac. Seulement, pas question pour le
professeur Stauros de quitter son terrain de jeu. Il commande des pizzas pour
que nous puissions nous restaurer sans interrompre l’interrogatoire.
Il revient sur la relation entre nous, Eli et moi, et
Pierre Guerreor. Je lui explique que le savant, c’est comme cela que je le
voyais, était un homme tout à fait charmant, mais complètement déconnecté de la
réalité. Il a trimbalé son fils à travers toute la Grèce à la recherche du
moindre objet historique. Eli m’expliquait que c’était sa façon à lui de ne pas
se laisser envahir par le chagrin de la perte de son épouse. Il n’est même pas
venu à notre mariage, mais nous a envoyé la reproduction d’une médaille à l’effigie
de la déesse Héra protectrice du mariage en guise de bénédiction et de souhait
de prospérité. C’est d’ailleurs l’objet que montre l’un de ses assistants.
La journée continue et je finis par lire une certaine
satisfaction dans les yeux de Michel Stauros qui embrasse du regard tous les
objets étalés sur le sol. Il a passé un moment à hiérarchiser chacun, déplaçant
l’un vers la droite, secteur rassemblant ceux qui ont trait à l’enfance d’Eli,
d’autres vers la gauche où les souvenirs de notre rencontre. Il m’explique
qu’il va consolider ses fondations par le biais d’un bombardement d’images
évoquant les relations entre Eli et son père, puis progressivement, il va
inclure des éléments de notre relation en commençant par la jalousie, sentiment
puissant s’il en est. Cette idée lui ai venu quand nous avons découvert le
livre que m’avait offert mon ancien soupirant. Eli n’a jamais voulu que je me
sépare de ce livre, car, disait-il « c’est le trophée qui salut mon
triomphe sur le roi du campus ». A l’époque, Tony Andréani, la star des
sports études, me courrait derrière. Il était beau comme un dieu, mais
complètement insipide. Il m’avait offert ce livre intitulé « Comment
dessiner les créatures féeriques » ce qui l’avait fait remonter dans mon
estime. Après tout, s’il était capable de remarquer ma passion, peut être
était-il moins superficiel qu’il n’y paraissait. Eli m’avait, pour sa part,
offert la panoplie de fée qui m’a fait craqué définitivement pour lui. Il était
certes moins beau, mais il avait su lire en moi. Le dessin était ma façon de
m’évader car je ne pouvais le faire dans la réalité. Ce costume m’a permis de
revêtir l’apparence de la créature qui me fascine depuis mon enfance, qui
représente la beauté, la bonté et même l’amour. C’est à compter de ce jour que
nous avons fait chambre commune. La seule personne qui en a souffert est ma
copine de l’époque, Kate Théda. Elle craquait littéralement sur Eli alors que
lui n’avait d’yeux que pour moi. Elle m’a demandé de rompre, que je ne devais
pas mettre un mec entre nous. Mais quand le roi du campus lui a fait les yeux
doux pour se consoler de sa défaite, nous sommes redevenus les meilleures
copines.
Une fois que ces assistants eurent fini de photographier
tous les objets et les avoir replacer dans les cartons, tout ce petit monde est
parti. Je me retrouve une nouvelle fois seule, allongée sur mon sofa, la tête
posée sur le cousin marqué de multiples auréoles qui témoignent de toutes les
larmes que j’ai versé…Que je verse encore.
Tout cela prend forme! Des questions se posent et on espère avoir les réponses!
RépondreSupprimerSi je peux me permettre une petite remarque "stylistique", il serait judicieux de ne pas toujours utiliser la narration à la première personne, mais de varier avec "le point de vue de dieu", comme si un personnage extérieur à l'histoire décrivait ce qu'il voyait, quitte à nous en dire plus que ne le sait le personnage décrit (Dan Brown est expert dans ce genre de narration^^)
J'ai choisi volontairement ce style d'écriture afin de pouvoir "entrer" plus profondément dans les émotions des personnages. Cela donne un effet "huit-clos" que j'aime assez utiliser. L'inconvénient d'un narrateur, est justement qu'il soit extérieur à la situation. Il ne peut donc pas décrire ce que ressentent les personnages, il ne peut qu'imaginer. Or, mon but (le saint Graal...lol) serait que les lecteurs puissent s'identifier à l'un ou l'autre des personnages. Je verrais si j'arrive à atteindre cet objectif ou non...
RépondreSupprimerOK, je comprend...Néanmoins c'est un gros risque de ne pas varier la narration! le "je" devient lassant...
RépondreSupprimerPour reprendre Dan Brown, il parvient à faire ressentir les sentiments, non pas en "narrant" la scène, mais en décrivant -comme le ferait un dieu qui lit dans les cœurs- les émotions et les peurs, appréhensions, etc...C'est tout l'avantage du "point de vue de dieu", c'est en fait l'écrivain qui explique les choses, pas un simple narrateur qui -comme tu le soulignes- ne pourrait qu'imaginer les émotions des personnages...Après c'est un choix évidemment, mais je te le répète, le "je" devient très vite lassant...
Ah oui, sinon DESACTIVE CE FICHU "CAPTCHA" dans les paramètres de ton blog!!!!!!!!!
J'espère que tu ne te lasseras pas trop vite car la deuxième partie est construite sur le même principe.
RépondreSupprimerPeut être que, s'il y a parmi les lecteurs des professionnels de l'écriture ou de l'édition, il y aura matière à discussion... Le débat est lancé!
Le "captcha"... euh... je vais aller voir ce que je peux faire... Tiens moi au courant.
Ah,ah! Non, rassure-toi, ce n'est pas ce petit "différent" stylistique qui va me lasser: l'histoire est bonne et j'attend la suite!! Par contre, as-tu une idée de la fréquentation de ton blog? N'hésite pas à te faire de la pub!
RépondreSupprimerDe mon côté, je vais faire un encart avec ton lien pour te faire un peu connaître...
Rhaaaa! Et ce Captcha toujours pas désactivé! NON JE NE SUIS PAS UN ROBOT!!!! (va dans sécurité -je crois- et désactive la confirmation avant publication ou un truc comme ça...)
RépondreSupprimerEn fait c'est dans paramètres, publication et commentaire, désactiver la reconnaissance des mots...Sinon avant la publication d'un com, blogger te demande de recopier un texte biscornu et des chiffres.....................
RépondreSupprimerC'est fait, merci du coup de pouce...
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